
L’inviter à la ferme ? L’idée le fait sourire. Mais ce n’est pas si simple, certaines choses se font, d’autres pas…
De fil en aiguille, la ferme va se remplir, s’agiter, recommencer à fonctionner. Un ami d’enfance devenu veuf, deux très vieilles dames affolées, des étudiants un peu paumés, un amour naissant, des animaux. Et puis, Paulette…
Après, A Mélie, sans Mélo et Tom, petit Tom, tout petit homme, Tom, Et puis, Paulette… est le troisième livre de Barbara Constantine que je lis. On retrouve ici un peu les mêmes ingrédients que les autres romans, à savoir une histoire simple et plutôt optimiste très agréable à lire avec des personnages très attachant que l’on à l’impression de connaitre.
Cette fois-ci, on fait la connaissance de Ferdinand, veuf un peu bourru, qui vit seul dans une très grande ferme familiale après le départ de son fils et ses petits enfants, Ludovic et Lucien (les Lulus). Ces derniers n’ayant pas leur langue dans la poche, vont proposer à Ferdinand d’inviter sa voisine Marcelline, une vieille dame solitaire, dont le toit de sa maison menace de s’effondrer.
On fera aussi connaissance de Guy, ami d’enfance de Ferdinand, qui lui n’a plus le gout à la vie suite au décès de sa femme. Lui aussi sera invité à la ferme. Il y aura aussi les deux soeurs Lumières, Hortense quatre vingt quinze ans et Simone quatre vingt huit ans, qui sous la menace de leur neveu voulant récupérer la maison, risque de se retrouver séparées. Terrifiées par cette idée, elles accepteront l’invitation à venir habiter la ferme de Ferdinand.
Ainsi tout ce petit monde aux personnalités très différentes va apprendre à vivre ensemble et l’on va découvrir au fil de l’histoire un peu de la vie de chacun. Les animaux aussi font parti de l’histoire comme le chat Chamalo et l’âne Cornélius.
Et puis viendront aussi s’installer à la ferme Muriel, une étudiante infirmière, et Kim un étudiant dans un lycée agricole.
Et puis Paulette… bien sûr !
Un livre que j’ai bien aimé et dont le maître mot de l’histoire est la solidarité.
Et de nos jours cela fait défaut alors on a envie de croire que cela reste possible !
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