
Un baiser brûlant du seul qu’on ne doit pas embrasser…
Deux bras qui enlacent ou qui tuent…
Un homme inquiétant, mais si charmant…
Une femme qui tremble et espère ardemment…
Un homme qui ment si savamment…
Une femme qui croit mener la danse, mais passe son tour…
Des adolescents plus avertis que les grands…
Un homme qui joue les revenants…
Un père, là -haut dans les étoiles…
qui murmure à l’oreille de sa fille…
Un chien si laid qu’on s’écarte sur son passage…
Des personnages qui avancent obstinément…
Comme des petites tortues entêtées…
qui apprendraient à danser lentement, lentement…
dans un monde trop rapide, trop violent…
On retrouve dans ce roman les mêmes personnages que dans les yeux jaunes des crocodiles :
Joséphine, qui pour faire plaisir à sa fille Hortense a déménagé à Paris. Sauf que cette dernière est parti faire ses études à Londres, et elle se retrouve donc seule avec Zoé dans ce grand appartement.
On retrouve aussi Marcel et Josiane toujours aussi amoureux avec leur petit Junior, un bébé très très éveillé (un peu trop peut être pour être vrai). Enfin ça c’est jusqu’à ce qu’Henriette ai l’idée de les « marabouter ».
On va aussi faire la connaissance de quelques nouveaux : les deux Hervé, voisins de Joséphine, qui vont se révéler être bien différent de ce qu’il veulent bien paraître…
J’ai bien aimé aussi cette suite, même si certains passages étaient un peu long à mon avis, mais l’histoire de voisinage nous plonge en plein polar et les pages se tourne rapidement 🙂
Ce roman a une suite : Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi que j’ai déjà lu il y a plus d’un an et demi sans savoir qu’il s’agissait d’une suite. Du coup je le relirai peut-être dans quelques temps car je ne m’en rappelle plus trop, mais je vais attendre un peu et passer à autre chose pour l’instant.
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